Depuis le mois de septembre, l’impact de la météo sur la consommation des produits de grande consommation ne s’inverse toujours pas.
Les années se suivent mais ne se ressemblent pas. En 2011, nous avons eu le droit à un mois de juin en avril mais un mois d’octobre en juillet et un début avril en novembre ! La première quinzaine de novembre est d’ailleurs la plus chaude jamais enregistrée et la France a vu dernièrement ses températures de plus de 5° par rapport à l’année précédente, nous informe Climpact, spécialiste de la business intelligence climatique.
Ainsi les spécialités glacées individuelles, les insecticides et les déodorants tiennent toujours le haut du pavé. Sur la troisième semaine de novembre, l’impact météo sur les ventes d’insecticides est de 50%, sur les déodorants de 20% et sur les spécialités glacées, de 16%. Inversement, la première catégorie hivernale « accessoires lustrants pour chaussures » n’apparaît qu’à la 66e position des 180 produits du classement des 180 PGC impactés par la météo. Tous les prévisionnistes se demandent quand débute et quand finit ma saison. La météo offre ainsi de nouvelles opportunités d’analyse... à condition de disposer des bons outils. Ceux de Climpact bien sûr.
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