UPS a réduit de 10% ses émissions carbone de sa flotte aérienne et terrestres et fixe à 20% la réduction de ses émissions d’ici 2020.
La 12e édition de son rapport annuel sur le développement durable est paru. Selon lui, l’expressiste a déjà atteint son objectif 2016 qui était de réduire de 10% l’intensité des émissions de carbone de ses flottes de transport. En 2013, ses émissions absolues de carbone ont diminué de 1,5% par rapport à 2012 alors que son volume d’envois internationaux a progressé de 3,9% durant la même période. L’expressiste a ajouté 249 véhicules lourds fonctionnant au gaz naturel liquéfié. Cette flotte parcourt pas moins de 3,3 millions de kilomètres par semaine. La société prévoit ainsi de déployer plus de 1 000 véhicules fonctionnant au GNL d’ici la fin de l’année 2014.
En 2013, les véhicules UPS à carburant de remplacement ont parcouru 88 millions de kilomètres dans le monde, économisant presque 22 millions de litres d’essence et de diesel. L’objectif est d’atteindre 1,6 milliard de kilomètres avec des véhicules à carburant de remplacement à la fin de l’année 2017. Le logiciel d’optimisation de itinéraires Orion, introduit aux Etats-Unis en 2013, est au coeur de cette stratégie. Avec lui, UPS a optimisé 10 000 itinéraires l’année dernière, soit une économie de 5,6 millions de litres et de 14 000 tonnes d’émissions de CO2.
Aujourd’hui, UPS veut aider ses clients à réduire leur empreinte écologique en calculant le nombre de tonnes de gaz à effet de serre et en les conseillant sur l’efficacité de leur chaîne logistique. L’offre UPS My Choice et UPS Smart Pick up permettent également d’éviter les kilomètres inutiles associés aux tentatives de livraison infructueuses. Enfin, l’option d’expédition neutre en carbone d’UPS inclue des projets de plantations d’arbres et de captage de bio méthane.
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